La société de consommation dans laquelle nous vivons offre, pour les gens disposant de finances ou de capacités importantes d'emprunts, des moyens faciles pour compenser à :
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leurs vides intérieurs (s'ils en ont);
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leurs carences personnelles ou affectives (s'ils en ont);
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leurs carences spirituelles ou esthétiques (s'ils en ont).
Qui plus est, il est certainement tentant de s'activer dans une sorte de fébrilité d'acheter plutôt que de s'efforcer d'amoindrir le stress et les tensions internes susceptibles d'être présents
en soi.
Il est cependant nécessaire, et plaisant aussi, d'acheter des biens matériels, ou des services, qui puissent répondre à nos besoins de survie, certes, mais également à des buts signifiants pour
soi-même et les nôtres.
L'essentiel est d'être bien centré sur ses véritables besoins - de savoir les distinguer des "simples désirs" - tout en évitant le piège de la "consommation par compensation".
La section suivante énumère une petite série d'activités ou d'états de bien-être, voire même d'émerveillement, reliée à l'acquisition de biens matériels, pas nécessairement coûteux. Il va de soi
que ce petit survol ne constitue rien de plus qu'une petite illustration d'une façon optimale, parmi d'autres, "d'utiliser" la société de consommation dans laquelle bon gré mal gré nous nous
trouvons à vivre.
Les plaisirs simples de la vie, parmi une infinité d'autres :
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Le plaisir des fêtes foraines.
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Les feux d'artifice, les manèges en mouvement, le parfum de la barbe à papa ou du pop‑corn, les ours en peluche et ces mères qui poussent leur carrosse!
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Les voyages en train.
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L'observation du ciel.
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Les casse-têtes.
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L'observation des oiseaux.
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Les cours de yoga
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etc.
En général on peut certainement affirmer qu'il existe des biens matériels (ou des services) qui peuvent être au service de sa SANTÉ MENTALE à soi, avec beaucoup d'éléments de plaisir ou
de sérénité qu'ils peuvent vous apporter, bien sûr.
